Une baie préservée des agressions
et peu à peu régénérée

Cinquante kilomètres de littoral, des dizaines de plages et de criques, 2 millions de baigneurs en moyenne chaque année, il est essentiel pour la Métropole d'Aix Marseille-Provence et la ville de Marseille de donner à voir à ses habitants comme aux touristes l'image d'un parc balnéaire préservé et protégé. C'est une priorité pour la Métropole qui n'a cessé de l'améliorer, de l'aménager pour en faire un vecteur d'attractivité et de qualité de vie en ville.

La richesse des fonds marins et la beauté de la rade marseillaise ont permis d'obtenir la création de l'emblématique « Parc National des Calanques » et convaincu, également, le Comité National Olympique de sélectionner Marseille comme site des épreuves nautiques en 2024. La ville se doit donc de devenir, sur terre comme en mer, un territoire exemplaire. Pour y parvenir, les femmes et les hommes du SERAMM s'y engagent.
Des missions centrales
Etoffer sa mission en développant des solutions pour préserver la faune et la flore.
Veiller, chaque instant, à ce qu'aucun dysfonctionnement dans son exploitation du système d'assainissement ne vienne constituer une menace pour la bonne qualité des eaux de baignade.

Des solutions protectrices
pour le littoral et la biodiversité

SERAMM surveille la bonne qualité des eaux de baignade,
un appui précieux pour la collectivité



Plus de 98 % des plages sont ouvertes à la baignade chaque année pendant la période estivale. Une nécessité quand le pic de fréquentation touristique est au plus haut et quand les températures incitent la population à vouloir se rafraîchir. Et pour protéger le littoral touristique, la ville de Marseille fait effectuer des analyses régulières sur les 21 plages de Marseille, sous le contrôle de l'Agence Régionale de la Santé pour vérifier la bonne qualité des eaux de baignade. Aujourd'hui, grâce à la méthode d'analyse Gen spot mise en œuvre par SERAMM/SUEZ, la ville dispose en seulement 3h de tous les arguments pour expliquer sa démarche d'ouverture ou de fermeture ponctuelle de plage et ce, au plus vite.
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Livraison des prélèvements d'eau de mer par la Mairie de Marseille au laboratoire SERAMM
Analyse des échantillons par la méthode de biologie moléculaire Gen Spot
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Résultats transmis à la Mairie de Marseille pour aider à la décision d'ouverture des plages
Comment ça marche ?Zoom sur la qualité des eaux de baignades

Une biodiversité marine en voie de revitalisation
sur la façade Méditerranéenne


Seramm s'investit dans la régénération de la faune et de la flore marine, dégradées durant des décennies par la progression de l'urbanisation à terre et tout au long des côtes. Là encore, son action commence sur le territoire et se prolonge dans la mer, sur les espaces les plus fragilisés.

+ Gen Spot
Gen Spot

En seulement 3h, la méthode Gen Spot permet d'analyser les eaux de baignade pour bénéficier de résultats fiables et SERAMM apporte son conseil à la ville sur la décision d'ouverture ou de fermeture des plages.

+ Beest
Beest

Sur les rochers, le projet « Re-Cyst » a consisté à mettre au point un méthode pour réinstaller des algues locales : les « cystoseires ».

+ Eve
Eve

Un vaste plan d’entretien a été déployé sur les 80 rivières et ruisseaux qui traversent la ville afin de maintenir leur capacité hydraulique pour que l’eau s’y écoule sans être encombrée de déchets. Ce plan concerne aussi la restauration écologique des berges par la protection des habitats existants.

+ Sirène
Sirène

+ Aquadvanced
Aquadvanced

Modélise les rejets polluants des épisodes pluvieux en mer.

+ Bionurse
Bionurse

Dans les ports, des nurseries de juvéniles de poissons sont installées pour contrebalancer les effets des aménagement portuaires qui ont fait disparaître les fonds côtiers. Aujourd’hui trois fois plus de fréquentation de jeunes poissons sur les quais équipés de la pointe rouge

Comment ça marche ?Zoom sur les solutions de préservation
de la biodiversité marine

Des impacts terre-mer beaucoup mieux cernés aujourd'hui

Des rivages jusqu'au fond de la Méditerranée, les activités humaines ont laissé des traces durables dans l'environnement. Beest est une étude scientifique menée par SERAMM et plusieurs partenaires visant à évaluer les impacts depuis 150 ans des activités humaines sur la qualité des eaux côtières et la biodiversité. Une aide précieuse pour la collectivité lors des projets d'aménagements pour mieux distinguer les flux d'interactions positives et négatives qu'ils sont susceptibles de générer sur l'environnement et de prévoir comment les appréhender.

Vers une biodiversité
marine et terrestre positive