Cinquante kilomètres de littoral, des dizaines de plages et de criques, 2 millions de baigneurs en moyenne chaque année, il est essentiel pour la Métropole d'Aix Marseille-Provence et la ville de Marseille de donner à voir à ses habitants comme aux touristes l'image d'un parc balnéaire préservé et protégé. C'est une priorité pour la Métropole qui n'a cessé de l'améliorer, de l'aménager pour en faire un vecteur d'attractivité et de qualité de vie en ville.
Des solutions protectrices
pour le littoral et la biodiversité
SERAMM surveille la bonne qualité des eaux de baignade,
un appui précieux pour la collectivité
Livraison des prélèvements d'eau de mer par la Mairie de Marseille au laboratoire SERAMM
Résultats transmis à la Mairie de Marseille pour aider à la décision d'ouverture des plages
Une biodiversité marine en voie de revitalisation
sur la façade Méditerranéenne
Seramm s'investit dans la régénération de la faune et de la flore marine, dégradées durant des décennies par la progression de l'urbanisation à terre et tout au long des côtes. Là encore, son action commence sur le territoire et se prolonge dans la mer, sur les espaces les plus fragilisés.
En seulement 3h, la méthode Gen Spot permet d'analyser les eaux de baignade pour bénéficier de résultats fiables et SERAMM apporte son conseil à la ville sur la décision d'ouverture ou de fermeture des plages.
Sur les rochers, le projet « Re-Cyst » a consisté à mettre au point un méthode pour réinstaller des algues locales : les « cystoseires ».
Un vaste plan d’entretien a été déployé sur les 80 rivières et ruisseaux qui traversent la ville afin de maintenir leur capacité hydraulique pour que l’eau s’y écoule sans être encombrée de déchets. Ce plan concerne aussi la restauration écologique des berges par la protection des habitats existants.
Modélise les rejets polluants des épisodes pluvieux en mer.
Dans les ports, des nurseries de juvéniles de poissons sont installées pour contrebalancer les effets des aménagement portuaires qui ont fait disparaître les fonds côtiers. Aujourd’hui trois fois plus de fréquentation de jeunes poissons sur les quais équipés de la pointe rouge
de la biodiversité marine
Des impacts terre-mer beaucoup mieux cernés aujourd'hui
Des rivages jusqu'au fond de la Méditerranée, les activités humaines ont laissé des traces durables dans l'environnement. Beest est une étude scientifique menée par SERAMM et plusieurs partenaires visant à évaluer les impacts depuis 150 ans des activités humaines sur la qualité des eaux côtières et la biodiversité. Une aide précieuse pour la collectivité lors des projets d'aménagements pour mieux distinguer les flux d'interactions positives et négatives qu'ils sont susceptibles de générer sur l'environnement et de prévoir comment les appréhender.